Cette semaine, retour dans l’arène politique à propos du projet de constitutionnalisation de l’avortement. Un thème grave et important, qui visiblement inquiète et dérange puisqu’un message dit de « contexte » a été placé sous la vidéo de l’émission sur YouTube indiquant :
« Contexte
Information sur l’interruption volontaire de grossesse
Service-Public.fr
Une femme enceinte, y compris mineure, qui ne souhaite pas poursuivre une grossesse peut en demander l’interruption. La pratique de l’avortement est réglementée et plusieurs étapes doivent être respectées, avant et après l’intervention. Lors de la consultation, la femme enceinte doit être informée sur les méthodes abortives et a le droit d’en choisir une librement.
À titre d’information uniquement. Consultez votre autorité médicale locale pour obtenir des conseils. En savoir plus »
Bien évidemment, nous récusons le fond de ce message et cette récupération honteuse qui s’impose à ceux qui regardent le Club des Hommes en noir. Mais ce message valide également l’intitulé de ce nouvel épisode : Constitutionnalisation de l’avortement : faut-il se taire ?
Pour répondre à cette question et discuter des enjeux de l’opposition à l’avortement, Philippe Maxence reçoit l’abbé Claude Barthe, l’abbé Marc Guelfucci, le père Jean-François Thomas et Guillaume de Thieulloy.
Pour que nous puissions continuer à dire la vérité sur la défense de la vie, n’hésitez pas à faire connaître cette émission et le Club des Hommes en noir.
On peut par exemple se rendre sur les sites suivants pour connaître les risques liés à l’avortement et le moyen de l’éviter :
https://www.alliancevita.org/en/
Pour les femmes en détresse, voir notamment :
https://enmarchepourlavie.fr/2022/01/associations-et-services-decoute/
https://www.fondationlejeune.org/
http://www.sos-tout-petits.org
>> à lire également : Constitutionnalisation ? La république veut sacraliser l’avortement – Entretien avec Gregor Puppinck, directeur de l’ECLJ