Les eurocrates « se la ferment » définitivement ! Ces profiteurs friqués, cul dans le beurre avec salaires, avantages et conditions de travail inversement proportionnels à leur contribution au bien commun des pays ne sont pas crédibles. À condition ensuite que Hollande et sa clique eux aussi nous lâchent. Nous en avons plein le dos de leurs engagements et de leurs promesses qui n’engagent… que les autres. Si aujourd’hui le Français hésite un peu avant d’ouvrir son cœur et sa maison, c’est qu’il a l’expérience de quarante ans d’impuissance politique et de culpabilisation face à l’immigration. Quoi qu’il en soit nous ouvrirons nos maisons. Mais pas n’importe comment. D’abord pas aux hommes ou alors pas longtemps. Le temps qu’il faut pour se reposer, se reconstruire et repartir. En âge de vous battre, nous ne vous garderons pas. Des hommes à nous : marins, pilotes, forces spéciales, sont engagés dans votre pays et des femmes et des enfants sont encore là-bas. L’homme se bat pour son pays. Le lapin fuit. Nos maisons ne sont pas des clapiers. Nos femmes pourront recoudre sur les treillis que nous vous donnerons le cœur et la croix… Nous avons aussi l’expérience des révolutionnaires intégristes qui pillent, brûlent, violent, massacrent, égorgent et guillotinent ceux qui ne pensent pas comme eux. Les nôtres n’étaient pas musulmans mais laïcs républicains. Nous accueillerons vos femmes et vos enfants, nous leur donnerons logis, vêtements et nourriture avec grand cœur, sans rien réclamer en retour… Si, encore une condition. Si elles sont musulmanes, nous ne trierons pas, alors nous leur demanderons de laisser dans nos maisons les crucifix. C’est par Lui et pour Lui que nous accueillons. À ces conditions-là… soyez les bienvenus chez nous et que la paix soit avec vous !
Jean de Tauriers : Quas Primas et les catholiques du XXIe siècle
Enquête Quas Primas 9 | Nous continuons notre enquête à l’occasion du centenaire de Quas Primas. L’encyclique de Pie XI semble bien à la peine chez les catholiques de notre époque, y compris les autorités ecclésiastiques. Les papes récents ont cependant régulièrement abordé la question du règne social de Notre-Seigneur Jésus-Christ malgré tout largement évacuée de l’enseignement.







