Cet été : Padre Pio, une vie pour le salut des âmes
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Cet été : Padre Pio, une vie pour le salut des âmes
Les stigmates de la Passion du Christ sont connus, ils eurent raison de l’incrédulité de Thomas l’Apôtre. Certaines âmes privilégiées, hommes et femmes, le plus souvent religieux tel Padre Pio ou religieuses, mais aussi laïques comme Marthe Robin, ont reçu ou reçoivent des stigmates visibles ou non. Qu’en dit l’Église ?
Les stigmates sont des blessures semblables à celles infligées au Christ lors de la Passion. Ils apparaissent sur les diverses parties du corps : dans les mains ou les poignets, sur les pieds ou les chevilles pour les plaies causées par les clous ; sur la tête, pour les plaies causées par la couronne d’épines ; sur le dos, en raison des coups de fouet ; sur le flanc, à cause du coup de lance. Ces blessures sont profondes et douloureuses, leur évolution médicale est très différente de celle des plaies naturelles. Aussi nombreux que les stigmatisés, les stigmates se manifestent diversement, les plaies pouvant apparaître simultanément ou successivement, lentement ou instantanément, épisodiquement ou définitivement. Certaines peuvent être profondes et saigner abondamment, d’autres à peine. Dans le cas de Padre Pio, les stigmates ont duré un demi-siècle, et ont disparu mystérieusement au moment de son décès. Chez d’autres mystiques, les stigmates apparaissent au cours de la Semaine sainte, et disparaissent le jour de Pâques.

La tunique du Padre Pio montre encore les traces de sang laissées par ses plaies.