Dieu m’ouvre à la sainteté Mourir au passé, c’est ouvrir un demain – poèmes chrétiens

Publié le 21 Mar 2021
Dieu m’ouvre à la sainteté Mourir au passé, c’est ouvrir un demain L'Homme Nouveau

Découvrez deux poèmes chrétiens de Franck Widro, pour la liturgie du dimanche 21 mars dans le Novus Ordo.

« Amen, amen, je vous le dis : si le grain de blé tombé en terre ne meurt pas, il reste seul ; mais s’il meurt, il porte beaucoup de fruit. Qui aime sa vie la perd ; qui s’en détache en ce monde la gardera pour la vie éternelle. Si quelqu’un veut me servir, qu’il me suive ; et là où moi je suis, là aussi sera mon serviteur. » (Jean 12, 20-33)

Dieu m’ouvre à la sainteté
(sur Jean 12, 20-33)

Le carême, temps d’amitié avec Dieu, réveil de l’Alliance ;

Dieu pardonne mes fautes, et celles de mon passé malsain ;

malgré mes défauts, Il reste Présent depuis ma résilience ;

Il m’aide sur terre à faire une purification, à être saint.

Mourir au passé, c’est ouvrir un demain
(sur Jean 12, 20-33)

Je suis chrétien, si je meurs à mon passé sécurisant ;

mon Je, son humanité s’épanouit, m’ouvre à un présent,

et à une vie en plénitude, des instants de Vérité ;

mon accueil d’un demain, me sculpte un visage de charité.

Ce contenu pourrait vous intéresser