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Benoît XVI s’adresse aux Français

Ce mercredi 10 septembre, au terme de l'Audience générale le pape Benoît XVI s'est adressé  aux Français, à deux jours de son départ pour Paris et Lourdes. Voici le texte intégral de ce message. Chers frères et soeurs, Vendredi prochain, j'entreprendrai mon voyage pastoral en France. En tant que successeur de Pierre, à la veille de mon arrivée, je tiens à adresser mon cordial salut au peuple français et à tous les habitants de cette nation bien aimée. Je viens chez vous en messager de paix et de fraternité. Votre pays ne m'est pas inconnu. A plusieurs reprises, j'ai eu la joie de m'y rendre et d'apprécier sa généreuse tradition d'accueil, de tolérance ainsi que la solidité de sa foi chrétienne comme sa haute culture humaine et spirituelle. Cette fois, l'occasion de ma venue est la célébration du 150ème anniversaire des apparitions de la Vierge Marie à Lourdes. Après avoir visité Paris, la capitale de votre pays, ce sera une grande joie pour moi de m'unir à la foule des pèlerins qui viennent suivre les étapes du chemin du jubilé, à la suite de sainte Bernadette, jusqu'à la grotte de Massabielle. Ma prière se fera intense au pied de Notre Dame, aux intentions de toute l'Église, particulièrement pour les malades, les personnes les plus délaissées, mes aussi pour la paix dans le monde. Que Marie soir pour vous tous et particulièrement pour les jeunes, la Mère toujours disponible auprès de ses enfants, une lumière d'espérance qui éclaire et guide vos chemins. Chers amis de France je vous invite à vous unir à ma prière pour que ce voyage porte des fruits abondants. Dans l'heureuse attente d'être prochainement parmi vous, j'invoque sur chacun, sur vos familles et sur vos communautés, la protection de la Vierge Marie, Notre-Dame de Lourdes. Que Dieu vous bénisse !

Au quotidien n° 247 : état de droit et refondation politique L'Homme Nouveau
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Fin de la Conférence de Lambeth : la crise demeure et va s’aggraver

En 1998, au dernier jour de la précédente Conférence de Lambeth, les participants avaient été éblouis par un magnifique feu d’artifice qui avait illuminé, à la nuit tombante, le ciel au-dessus de la cathédrale de Cantorbéry. Cette année, pour sa quatorzième édition, c’est une pluie torrentielle qui s’est abattue sur le campus de l’Université du Kent où se déroulait, le 3 août, la dernière journée de cette assemblée décennale de la Communion anglicane qui n’a rien réglé de ses contradictions et qui s’enfonce dans un schisme “au ralenti”.
Les conclusions de cette conférence sont « absolument vaines et entièrement nulles », pour reprendre, avec une triste ironie, l’expression même qu’utilisa Léon XIII pour qualifier les ordinations anglicanes dans Apostolicæ Curæ en 1896. « Futilité » pour certains participants, « perte de temps » pour beaucoup d’autres et frustration pour tous – y compris pour nos confrères journalistes, traités par-dessus la jambe. Et à quel prix ! Le coût de cette réunion s’élève à quelque 5 millions de £ (6,3 millions d’euros) dont 2 restent à réunir…
Le meilleur résumé de l’inanité ce cette Conférence qui réunissait moins des trois-quarts des évêques de la Communion anglicane – lesquels ne représentaient même pas la moitié des fidèles anglicans –, tient en deux citations du Dr Rowan Williams, primat de la Communion, extraites de son allocution d’ouverture et de son allocution de clôture.
Le 20 juillet, il déclarait : « Nous savons tous que nous nous trouvons au cœur d’un des défis les plus graves qu’ait dû affronter la famille anglicane au cours de son histoire ».
Le 3 août, il concluait : « Au cours de ces jours que nous avons passés ensemble, nous n’avons pas surmonté nos problèmes ni réinventés nos structures : cela prendra encore du temps ».
Du temps ! Toute...

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Lambeth : le cardinal Kasper en appelle à un « nouveau Mouvement d’Oxford »

« Je sais que beaucoup d’entre vous êtes préoccupés – et certains le sont profondément – par la menace d’éclatement de la Communion anglicane. Nous ressentons une profonde solidarité avec vous, car nous aussi nous sommes préoccupés et attristés de devoir vous demander : dans un tel scénario quelle forme pourrait présenter demain la Communion anglicane et avec quel partenaire pourrons-nous poursuivre le dialogue ? Devrons-nous – et comment – judicieusement et honnêtement engager aussi des négociations avec ceux qui partagent les points de vue catholiques sur les questions qui sont objets de controverse, et qui marquent leur désaccord avec certains développements dans la Communion anglicane ou dans certaines provinces anglicanes [1] ? Dans une telle situation, qu’attendez-vous de l’Église de Rome  qui, selon les paroles d’Ignace d’Antioche, doit présider sur toute l’Église dans l’amour ? Comment les travaux de la Commission internationale Anglicane-Catholique Romaine (ARCIC) [2] sur l’épiscopat, l’unité de l’Église et la nécessité de l’exercice  de la primauté au niveau international peuvent aider la Communion anglicane dans la situation présente ? »*

Dire que le discours du cardinal Walter Kasper, président du Conseil pontifical pour la promotion de l’unité des chrétiens était attendu, c’est trop peu dire. Après la “leçon” du cardinal Ivan Dias, les évêques anglicans réunis à Lambeth ne savaient plus trop qu’attendre de celui qui a présidé, avec courtoisie – certains disent avec trop de gentillesse – un dialogue qui a pu être fécond dans le passé. Le cardinal Kasper a lui aussi asséné sa “leçon”, ce mercredi 30 juillet, dans un lieu plus grand que celui qui avait été initialement prévu, et qu’il a fallu trouver dans la plus grande précipitation car tout le monde souhaitait écouter ce discours dont on devinait, par avance, qu’il...

Lambeth : le cardinal Kasper en appelle à un « nouveau Mouvement d’Oxford » L'Homme Nouveau
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Rome adresse un signal encourageant à un fort groupe de dissidents anglicans

Alors que la Conférence de Lambeth, entre une tea party chez la Reine d’Angleterre et une manifestation dans les rues de Londres pour exiger l’extinction de la faim dans le monde, tente, sans grand espoir de succès, de réduire la fracture du “schisme” de la Fellowhip of Confessing Anglicans (FOCA) et de prévenir ceux qui s’annoncent (les 120 paroisses de l’Église d’Angleterre placées sous la houlette du « Flying Bishop » Andrew Burnham, et les plus de 800 réunies dans le mouvement anglican international Forward in Faith que préside l’évêque John Broadhurst), Rome vient d’envoyer un signal encourageant à un autre fort groupe d’anglicans qui a déjà formellement rompu avec la Communion anglicane puis avec l’Église d’Angleterre : The Traditional Anglican Communion (TAC).
La TAC est née en 1991 à l’initiative d’anglicans récusant les dérives d’églises anglicanes ou épiscopaliennes : ordination des femmes, de pasteurs homosexuels, etc. Elle se compose aujourd’hui d’une vingtaine d’Églises réparties sur cinq continents et qui rassemblent un peu plus de 400 000 fidèles (selon les chiffres officiels fournis).
Sans souhaiter abandonner certains caractères propres de la tradition anglicane (notamment liturgiques), la TAC recherche l’unité avec Rome.
Le 16 octobre 2007, l’archevêque anglican australien John Hepworth, primat de la TAC, rendait public le communiqué suivant :
« Le collège des évêques de la Traditional Anglican Communion (TAC) s’est réuni en session plénière à Portsmouth, Angleterre, la première semaine d’octobre 2007. Les évêques et les vicaires généraux ont approuvé à l’unanimité le texte d’une lettre destinée au Siège de Rome en vue d’une union pleine, en corps [souligné par moi] et sacramentelle. La lettre a été solennellement signée par tout le collège qui a autorisé le primat et...

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Le cardinal Dias à Lambeth : gare à l’Alzheimer spirituel et au Parkinson ecclésial…

« L’opinion de votre correspondant, c’est que le cardinal Dias a offert un exposé positif et orthodoxe de la nouvelle évangélisation. Toutefois, ce faisant, il a saisi l’occasion pour traiter de manière évidente, encore qu’avec ménagement et une affection évidente, des problèmes et des préoccupations de la famille anglicane, qui entravent sa capacité à poursuivre son œuvre [d’évangélisation] et [la poursuite de] ses relations avec l’Église catholique (romaine) ».

Le correspondant dont il s’agit, est celui du plus important mouvement de traditionalistes anglo-catholiques Forward in the Faith que préside John Broadhurst, évêque anglican de Fulham. Il assure un “suivi” des travaux de la Conférence de Lambeth pour les quelque 800 paroisses anglo-catholiques d’Angleterre, d’Amérique du Nord et d’Australie, et rédige chaque jour un compte-rendu substantiel et d’intérêt. On précisera que Forward in the Faith, bien qu’opposé à la dérive de la Communion anglicane et de l’Église d’Angleterre, notamment pour ce qui est de l’ordination des femmes à l’épiscopat, n’envisage pas – contrairement à Andrew Burnham, l’évêque « volant » d’Ebbsfleet – un retour à Rome. Dans une déclaration du 9 juillet déplorant la décision du 7 juillet du Synode général de l’Église d’Angleterre, l’évêque Broadhurst, évoquant les « spéculations dans les médias relativement à des contacts avec Rome », et sans nier ces derniers qui remontent chez lui à 1992, y expose son « problème » : « bien que [Rome] ait montré une grande générosité, il n’y a pas eu offre de réconciliation ecclésiale. En d’autres mots, notre vie spirituelle et notre Eucharistie communes n’ont pas été reconnues. Cela demeure un problème pour moi ». Et ce l’est aussi pour Rome, me permettrai-je d’ajouter, car s’agissant, comme le suggère...

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Conférence de Lambeth : business as usual…*

« Nous savons tous que nous nous trouvons au cœur d’un des défis les plus graves qu’ait dû affronter la famille anglicane au cours de son histoire ». Voilà ce que reconnaît le Dr Rowan Williams, archevêque de Cantorbéry, métropolitain de la province de Cantorbéry de l’Église d’Angleterre, et « primat de toute l’Angleterre » [1], dans son discours prononcé le dimanche 20 juillet lors de la séance plénière d’ouverture de la Conférence de Lambeth.
Une séance plénière loin d’avoir fait le… plein, car si la Conférence de Lambeth est supposée réunir une fois tous les dix ans et à l’invitation de l’archevêque de Cantorbéry tous les évêques anglicans du monde, tous n’ont pas estimé devoir y déférer cette année. Avec quelque optimisme, le site officiel de la Conférence de Lambeth croyait, avant que ne s’ouvre cette réunion, pouvoir annoncer [2] la présence de plus de 800 évêques : ils ne sont que 650 ; 230 évêques, donc 5 primats sur 38, l’ont boycottée : du jamais vu depuis la première Conférence de Lambeth en 1867 !
Le Dr R. Williams a beau ironiser, sans doute pour détendre l’atmosphère, sur les “unes” de journaux annonçant « la fin de la communion anglicane », il n’en reconnaît pas moins « qu’il est pourtant vrai que des choix devront être faits au cours des semaines que nous passons ensemble ». Des choix qui devront s’exprimer en résolutions. Toutefois, il s’empresse de rassurer ses auditeurs quant à l’aspect contraignant que pourraient revêtir ces résolutions pour chacun des évêques présents : « de résolutions qui ont été votées depuis 1867, vous en découvrirez beaucoup, et sur des sujets vraiment importants, qui n’ont jamais été suivies d’effets »… Il n’y a donc pas lieu pour les évêques anglicans de trop s’inquiéter – et pour nous de trop attendre des « résolutions » de la Conférence de Lambeth...

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Homélie de la messe de clôture des JMJ

Dimanche 20 juillet, le pape Benoît XVI a prononcé l'homélie de la messe de clôture des XXIIIeme Journées mondiales de la jeunesse qui se sont tenues à Sydney, en Australie. Le prochain rendez-vous de la jeunesse du monde entier aura lieu à Madrid, en Espagne, en 2011. « L'heure est venue pour moi de vous dire adieu, ou plutôt arrivederci » a déclaré le pape. Je vous remercie tous pour votre participation à la Journée mondiale de la jeunesse 2008, ici à Sydney, et j'attends avec impatience de vous revoir dans trois ans. »Chers amis,« Vous allez recevoir une force, celle du Saint-Esprit qui viendra sur vous » (Ac 1, 8). Nous avons vu cette promesse réalisée ! Comme nous venons de l'entendre dans la première Lecture, le jour de la Pentecôte, le Seigneur ressuscité, assis à la droite du Père, a envoyé l'Esprit sur les disciples réunis au Cénacle. Par la force de cet Esprit, Pierre et les Apôtres sont partis pour prêcher l'Évangile jusqu'aux extrémités de la terre. À tout âge et en toute langue, l'Église continue de proclamer dans le monde entier les merveilles de Dieu et appelle toutes les nations et tous les peuples à accueillir la foi, l'espérance et la nouvelle vie dans le Christ.Ces jours-ci, je suis venu moi aussi, en tant que Successeur de saint Pierre, sur cette magnifique terre de l'Australie. Mes jeunes frères et sœurs, je suis venu pour vous confirmer dans la foi et pour ouvrir vos cœurs au pouvoir de l'Esprit du Christ et à la ri chesse de ses dons. Je prie pour que cette grande assemblée, qui unit des jeunes « de toutes les nations qui sont sous le ciel » (Ac 2, 5), devienne un nouveau Cénacle. Puisse le feu de l'amour de Dieu descendre pour remplir vos cœurs, pour vous unir toujours plus au Seigneur et à son Église et vous envoyer, comme une nouvelle génération d'Apôtres, pour porter le monde au Christ !« Vous allez...

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Le Pape offre aux jeunes une charte de l’écologie humaine

Nous publions ci-dessous la quasi intégralité du discours du Pape Benoît XVI aux jeunes réunis à Sydney le jeudi 17 juillet dans le cadre des JMJ. Il s'agit d'une véritable charte d'une écologie humaine prenant en compte aussi bien de l'environnement naturel que social. Nous n'avons pas commenté ce message mais ajouté des intertitres pour en guider la lecture.Universalité du christianismeMonsieur le Cardinal Pell et Monseigneur l'Archevêque Wilson : je vous remercie de vos chaleureuses paroles de bienvenue. Je sais que vos sentiments trouvent un écho dans le cœur des jeunes réunis ici, ce soir, et je vous en remercie donc tous. J'ai sous les yeux une image vibrante de l'Église universelle. La diversité des nations et des cultures dont vous provenez montre que véritablement la Bonne Nouvelle du Christ est pour tous et pour chacun ; elle a atteint les extrémités de la terre. Et cependant, je sais aussi qu'un bon nombre parmi vous est encore à la recherche d'une patrie spirituelle. Quelques-uns d'entre vous - et ils sont tout à fait les bienvenus parmi nous - ne sont pas catholiques ni chrétiens. D'autres, peut-être, se tiennent aux frontières de la vie de leur paroisse et de l'Église. Je désire leur offrir mes encouragements : approchez-vous des bras pleins d'amour du Christ ; reconnaissez en l'Église votre maison ! Personne n'est obligé de rester à l'extérieur, car depuis le jour de la Pentecôte, l'Église est une et universelle.Ce soir, je désire aussi associer ceux qui ne sont pas présents au milieu de nous. Je pense spécialement aux malades ou aux handicapés mentaux, aux jeunes qui sont en prison, à ceux qui connaissent des situations difficiles en marge de nos sociétés et à ceux qui, pour une raison ou une autre se sentent loin de l'Église. À chacun, je dis : Jésus est proche de toi ! Fais l'expérience de son étreinte qui guérit, de sa compassion et de sa miséricorde...

6 prières du chapelet L'Homme Nouveau
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Ce que Rome pourrait avoir accordé aux anglo-catholiques de l’Église d’Angleterre…

C’est à midi aujourd’hui mercredi 16 juillet, que s’est ouverte la Conférence de Lambeth qui, à l’invitation de l’archevêque de Cantorbéry, “primat” de la Communion anglicane, réunit tous les dix ans les archevêques (à la tête de provinces ecclésiastiques) et évêques anglicans du monde entier. On en attendait quelque 800. Plus de 200 ne seront pas au rendez-vous. La Communion anglicane est en crise, tout comme l’est l’Église d’Angleterre. La Conférence de Lambeth devrait poursuivre ses travaux jusqu’au 3 août. C’est la quatorzième. Ce pourrait bien être la dernière…
La décision du Synode général – qui est l’organe réel de gouvernement de l’Église d’Angleterre, et dans lequel les archevêques et évêques ne comptent que pour un tiers des voix lorsque des résolutions sont votées –, le 7 juillet, de promouvoir l’ordination épiscopale des femmes sans contrepartie pour les anglo-catholiques qui y sont hostiles – comme ils le furent dès 1994 quant à l’ordination sacerdotale des femmes –, ne laisse guère d’autre choix à un grand nombre de ces derniers que celui de quitter une Église d’Angleterre qui a désormais pris le parti d’embrasser son héritage protestant et de briser le fil ténu qui la reliait encore à ce qu’elle pensait être son héritage “catholique”.
Certains hauts prélats anglo-catholiques avaient prévu cette nouvelle dérive, et l’avaient même anticipée. J’ai évoqué dans ce blogue les entretiens secrets [1] qu’ont eus à Rome les deux “flying bishops”, Andrew Burnham, évêque d’Ebbsfleet, et Keith Newton, évêque de Richborough, de la province ecclésiastique de Cantorbéry. Il s’agissait pour eux de sonder Rome « sur les moyens leur permettant [de faire retour à Rome] avec leurs fidèles » [2], c’est-à-dire des anglo-catholiques, pasteurs et laïcs, constituant des sortes de « paroisses personnelles », à...

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Le Tibre va-t-il se jeter dans la Tamise ?

Le Tibre va-t-il se jeter dans la Tamise ? C'est sous ce titre que Daniel Hamiche consacre, à ma demande, un article de présentation de la crise que traverse actuellement l'Église d'Angleterre, dite Église anglicane. Comme à son habitude, il nous livre un document traduit par ses soins, enrichissant ainsi sa propre analyse. Je rappelle que pendant tout l'été la formule "papier" de L'Homme Nouveau ne paraît qu'avec deux numéros (un en juillet, déjà paru dont le dossier est consacré à Humanæ vitæ et un autre début août qui sera un numéro spécial thèmatique). En revanche, la rédaction de l'Homme Nouveau reste présente sur son blogue pour commenter l'actualité ou vous faire part de ses analyses. Très bon été à tous. Philippe Maxence Rédacteur en chef de L'Homme Nouveau medias/fichier/Le_Tibre_et_la_Tamise.pdf

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