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L’abbé Barthe ce soir sur Radio Courtoisie

 L'abbé Claude Barthe présentera ce soir, à partir de 19h00, sur Radio Courtoisie son dernier livre paru aux éditions de l'Homme Nouveau, dans la collection Hora Decima : La Messe à l'endroit. 

Fréquences FM de Radio Courtoisie en Mhz :
Paris et Ile-de-France, 95,6 | Caen, 100,6 | Chartres, 104,5 | Cherbourg, 87,8 | Le Havre 101,1 | Le Mans, 98,8.
Radio Courtoisie par satellite : CanalSat.

On peut aussi écouter l'émission sur Internet.

Au quotidien n° 247 : état de droit et refondation politique L'Homme Nouveau
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La presse parle de Small is toujours beautiful

A peine sorti des presses, le dernier né des éditions de l'Homme Nouveau est salué par Gabriel Rivière, dans Minute de cette semaine. Extrait

« Il y a des livres dont on sait tout de suite qu'ils vont être dévorés sur-le-champ, quelle que soit l'urgence du moment. Ainsi de Small is toujoursbeautiful de Joseph Pearce, ex-punk d'outre-Manche devenu catholique à la lecture de Chestertonet de quelques autres. Depuis qu'il n'écoute plus les Sex Pistols (mais on écoute toujours lesSex Pistols), il enseigne la littérature aux Etats-Unis et explore la curieuse galaxie des écrivains anglais qui ont épousé la foi catholique: outre Chesterton,Tolkien, que tout le monde connaît, C.S. Lewis,que tout le monde devrait connaître, auxquels on pourrait adjoindre Evelyn Waugh, Graham Greene et jusqu'au cardinal Newman, tous convertis au catholicisme. Et pas des petits écrivains de rien du tout, non, des grands. Ça tombe bien: le gigantisme est le sujet de Joseph Pearce.Il y a plus de trente ans paraissait Small is beautiful (ce qui est petit est beau) de l'économiste Ernst Friedrich Schumacher, immense succès de librairie, devenu la devise de quantité de personnes d'avenir, des néo-poujadistes que n'effraient pas les anglicismes aux écolos qui ont un peu côtoyé l'oeuvre de Proudhon. Nourri de philosophia perennis et de christianisme, Schumacher voulait réconcilier la sagesse des Anciens et l'économie des Modernes. Joseph Pearce a repris la réflexion là où il l'avait laissée. Ça nous vaut cet essai fortifiant écrit dans une langue prompte à tout éclaircir, le tout émaillé de citations bien choisies, d'Aristote à Soljénitsyne, écologiste dans l'âme et décroissant chrétien, qui répondait, à qui lui demandait sa vision de l'économie: «...

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Un nouveau livre : Small is – toujours – beautiful

En 1973, l'économiste Ernst Friedrich Schumacher publiait Small is beautiful, un essai qui allait devenir non seulement un livre à succès, traduit dans une centaine de langues, mais un véritable slogan. Associant sagesse ancienne et économie moderne, vérités spirituelles et faits concrets, Schumacher offrait une vision rénovée de l'économie. Remettant en cause l'idolâtrie du gigantisme et du globalisme, il préconisait de nouveaux modes de production à la mesure de l'homme.
Avec Small is toujours beautiful, Joseph Pearce propose une approche renouvelée des idées de Schumacher, qu'il confronte aux problèmes actuels, notamment ceux posés par la mondialisation et le saccage de l'environnement. S'appuyant sur des exemples concrets, Pearce réactualise brillamment la pensée de Schumacher et démontre la pertinence pour le XXIe siècle d'"une économie à l'échelle de la famille". 

Né en Grande-Bretagne, Joseph Pearce, 49 ans, enseigne aujourd'hui aux Etats-Unis, à l'Ave Maria University (Floride). S'intéressant aux questions économiques et sociales, il est également l'auteur de biographies très remarquées dans le monde anglo-saxon (Chesterton, Soljenistyne, Tolkien, Lewis…).

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Face à la crise : un rendez-vous à ne pas manquer

C'est devenu une sorte de mot de passe. Un homme politique revient-il sur ses propositions ? C'est la crise ! Un chanteur annule-t-il une tournée ? C'est encore la crise ! L'effort missionnaire subit-il un sérieux ralentissement ? C'est toujours la crise !
Depuis 2008, le monde vacille sous l'effet d'un séisme économique. Un temps, nous aurions pu croire que cette tragédie permettrait de remettre à plat le système et de tirer de profitables leçons. Pauvres naïfs que nous étions ! Cette crise économique a surtout donné lieu à la défense des intérêts en place, puis à une invocation rituelle devant chaque projet avorté pour se transformer peu à peu en une bonne conscience éthique de nos sociétés « libéraleslibertaires ». Désormais, sous cette pression moralisante, la peur a laissé place à la pierre philosophale, susceptible de régler tous les problèmes. Pour répondre à la crise, clame-t-on partout, il faut « mo-ra-li-ser » le capitalisme.
Face à cette unanimité, nous avons donc décidé de poser une simple question : suffit-il de ce coup de pouce moral pour revenir à une société plus humaine ? Nous commençons, dans le numéro 1464 à paraître en fin de semaine la publication des réponses que nous avons reçues. Elles sont diverses, ne concordent pas forcément, s'opposent même. Chacun ici exprime et exprimera sa pensée, sans être engagé par la ligne du journal ni même par les propos des autres participants. Je remercie ceux qui, de France et de l'étranger, ont accepté de participer à ce débat. Il s'annonce passionnant.
Les lecteurs de ce blog qui ne sont pas abonnés à l'Homme Nouveau peuvent le découvrir à cette occasion en en faisant la demande. Il suffit pour cela de circuler un peu sur ce site pour découvrir nos coordonnées ou comment bénéficier de trois numéros de découverte. À bientôt !

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Sentinelles de l’invisible

C'est une ancienne vérité qui ne cesse de se vérifier en nos temps de publicité : le bien ne fait pas de bruit. Mais il est là, bien présent, même si les projecteurs ne sont habituellement pas projetés sur lui. Invisible souvent aux yeux qui ne voient pas et aux oreilles qui n'entendent pas, il n'en reste pas moins bien réel et efficace. Du bien, il s'en fait justement en l'Institut Saint-Joseph de Draguignan. Peut-être n'avez-vous jamais entendu parler de cet établissement scolaire confié aux dominicaines du Saint-Esprit ? Dans l'esprit profondément romain reçu de leur fondateur, le chanoine Berto, ces disciples de saint Dominique se consacrent avec un dévouement exemplaire à l'éducation des jeunes filles. Elles sont exigeantes, mais sans raideur ; traditionnelles, mais sans nostalgie ; féminines, mais sans revendications féministes ; spirituelles, mais les pieds bien sur terre. Leur souci ? Former des adultes véritablement libres. C'est-à-dire capables de choisir le vrai et le bien. Utopie ? Ces filles de saint Thomas n'en cultivent aucune, attachées à un exact rapport au réel. Celui-ci se rappelle aujourd'hui à elles, sous les vêtements du succès. De plus en plus de familles font appel à l'Institut Saint-Joseph pour l'éducation de leurs filles. À leur tour, les dominicaines, qui ont besoin d'agrandir et de rénover, espèrent notre aide. J'ai donc fait le pari et le rêve qu'en cette période de l'Avent le matérialisme ne serait pas le seul triomphant et que les lecteurs de L'Homme Nouveau aideront les dominicaines de Draguignan, véritables sentinelles de l'invisible.

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Conférence sur le Mythe de la violence religieuse

 Conférence au Centre culturel Saint Paul  -Mardi 27 Octobre 2009 à 20 heures « Les religions mènent-elles à la guerre et à la violence ? »Commentaire du livre de William Cavanaugh, « Le mythe de la violence religieuse » -par l’Abbé Guillaume de TANOÜARN -Participation aux frais: 5 euros, 2 euros pour les étudiants - La conférence est suivie d’un verre de l’amitié.12 rue Saint Joseph - 75012 Paris - 01 40 26 41 78

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L’encylique du pape et le dernier livre de l’Homme Nouveau

Y a-t-il un lien entre le dernier livre publié par les éditions de l'Homme Nouveau et la parution de la troisième encyclique du pape Benoît XVI : « Caritas in veritate » (La charité dans la vérité). D’une hauteur de vue bien à l’image de son auteur, se fondant sur le rappel théologique des liens intrinsèques entre la charité et la vérité, cette encyclique réactualise la doctrine sociale de l’Église, en prenant à bras le corps les problèmes nouveaux posés dans le cadre de la mondialisation. Prudent, évitant de choquer un auditoire avide d’images chocs et de formule à l’emporte-pièce, le seul laïc admis à présenter le texte du pape lors de la conférence de presse, le professeur Stefano Zamagni de l’université de Bologne a tenu à préciser que « Non, ce n’est pas une encyclique anticapitaliste ». Preuve hautement paradoxale que certains passages de ce texte très riche pourraient le laisser penser…On donnera raison au professeur Zamagni, car comme l’explique Chesterton en introduction de son livre Outline of sanity, traduit en français, de manière un peu paradoxale, bien dans le ton de l’auteur, par Plaidoyer pour une propriété anticapitaliste, ce terme de capitaliste est devenu polysémique et exige d’être très précisément défini. Or, Chesterton le fait remarquer : « une société de capitalistes ne contient pas trop de capitalistes, mais trop peu ».Il ne s’agit pas ici de résumer cette nouvelle encyclique. Force est de constater pourtant que la pensée distributiste de Chesterton et de Belloc ne peut que se trouver encourager à poursuivre ses efforts et son actualisation par ce texte papal. Dans ce sens, la publication pour la première fois en langue française du Plaidoyer pour une propriété anticapitaliste s’inscrit directement dans l’effort de réflexion auquel le pape invite les catholiques.Quand il souligne que la question sociale et économique est morale et...

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Benoît XVI-William Cavanaugh, même combat ?

La lecture de la dernière encyclique de Benoît XVI a évoqué en nous plusieurs choses. Nous avons déjà évoqué les liens avec les principes du courant distributiste que Chesterton a présenté dans un livre comme Plaidoyer pour une propriété anticapitaliste. Mais nous sommes heureux de constater qu’un autre ouvrage publié par nos éditions entre directement en résonnance avec les propos du Saint-Père. Ce livre, c’est celui de William Cavanaugh : Etre consommé. Avant d’en donner un extrait, on trouvera peut-être indécent que nous établissions ces rapprochements, semblant récupérer le pape à notre cause. Soyons clair : nous ne récupérons pas le pape ; nous ne le transformons pas en un objet publicitaire et de consommation [voir les raisons profondes de ce rejet dans Etre consommé de William Cavanaugh] : nous sommes simplement heureux de constater cette communion. Ajoutons, pour terminer sur ce sujet, que si nous n’en parlons pas nous-mêmes, personne d’autres ne le fera. Dans Etre consommé, le théologien William Cavanaugh ne se contente ni d’analyser le phénomène de la consommation, ni de poser un regard théologique inédit sur lui. Il va au-delà, en proposant des solutions alternatives. Par exemple, il écrit ceci au chapitre III : « Si le détachement d’endroits et de communautés particulières a contribué à la dépersonnalisation de l’économie mondiale, alors une esthétique adéquate du particulier devrait remettre la personne humaine au centre des relations économiques, comme Jean Paul II n’a cessé de le répéter. Une esthétique et une pratique du don de soi mutuel devraient, de même, s’opposer...

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Quand Valeurs actuelles et Libération se rejoignent…

Alors que certains catholiques, qui habituellement parlent haut et manient facilement l’anathème, restent étrangement silencieux, le livre de Chesterton édité par les Éditions de l’Homme Nouveau, Plaidoyer pour une propriété anticapitaliste, vient de prouver qu’il était, selon une formule bien contemporaine, « trans-courants ». Le même jour, Valeurs actuellesconsacrait à ce livre une pleine page pendant que Mathieu Lindon, dans Libération, lui offrait les colonnes de sa rubrique. Avec sa finesse habituelle, Philippe Barthelet a merveilleusement présenté Plaidoyer pour une propriété anticapitaliste, à ses lecteurs de Valeurs actuelles. N’hésitant pas à qualifier Chesterton de « l’un des plus grands écrivains anglais de son siècle », – et Barthelet sait de quoi il parle –, le chroniqueur écrit notamment : « Quatre-vingts ans après qui l’a écrit, le Plaidoyer de Chesterton est d’une actualité douloureuse : la “crise” financière et économique où nous nous débattons a fait ressortir aux yeux les plus obstinément détournés l’aberration suicidaire d’un système à peu près fou, tenu par d’opiniâtres irresponsables (…). Sur les conditions d’une agriculture saine, sur le bluff de la publicité et la tyrannie du grand commerce (qu’on appellerait aujourd’hui “grande distribution”), ce livre, qui tombe à pic, est d’un intérêt jamais démenti ; peut-être parce que Chesterton parie sur l’intelligence de son lecteur… » De son côté, Libération n’est pas en reste. Loin de là ! Mathieu Lindon est un très bon connaisseur de Chesterton dont il parle souvent dans sa chronique littéraire. Mais cette fois, il y avait un vrai pari à lui envoyer le livre...

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Les 4 vérités et Chesterton

L'hebdomadaire Les 4 vérités, qui s'intéresse aux questions économiques et sociales, habituellement dans une perspective plutôt libérale, a eu l'amabilité d'indiquer la parution de Plaidoyer pour une propriété anticapitaliste, traduction française de Outline of sanity, de G.K. Chesterton. Une recension signé Guillaume de Thieulloy, auteur par ailleurs du Chevalier de l'absolu, un livre consacré à Jacques Maritain et paru chez Gallimard. Chesterton est probablement l’un des meilleurs écrivains anglais du siècle dernier. Son humour si typiquement britannique, son goût prononcé pour le paradoxe, en font un auteur particulièrement plaisant (et stimulant) à lire.Les éditions de l’Homme nouveau viennent de publier un ouvrage de cet auteur encore inédit en français. Le titre sera sûrement « vendeur » en ces temps de crise, mais, sous cet « anticapitaliste », c’est plutôt « anti-monopolistique » qu’il faudrait lire (contre les monopoles d’État et contre les monopoles privés). Cette « diffusion de la propriété », comme disait naguère Louis Salleron, est vitale pour la restauration (et pas seulement économique) de la société. 

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