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Un inédit de Chesterton vient de paraître…

Les éditions de l'Homme Nouveau sont heureuses de vous annoncer la parution d'un nouveau livre : Utopie des usuriers. Signé G.K. Chesterton, cet ouvrage est un inédit en France et connaît aujourd'hui sa première traduction, que l'on doit à Gérard Joulié.
Utopie des usuriers est un livre à part dans l'œuvre immense du célèbre écrivain anglais, converti au catholicisme, maître du paradoxe, joyeux troubadour et pourfendeur des idées faciles. Dans Utopie des usuriers, Chesterton est en colère. Face à une société aux mains des puissances de l'argent, l'écrivain, habituellement si débonnaire, ne cache pas son écœurement et dissèque quelques aspects d'un système qui peu à peu donne tous les droits à l'argent au détriment des anciennes valeurs morales. À son habitude, il ne suit pas une démonstration rigoureuse et conserve son humour pour pourfendre les fauteurs de scandales, les puissants du moment.
Livre de colère, essai d'hier pour aujourd'hui, Utopie des usuriers nous apprend qu'il y a un moment où le silence se fait complice et qu'il faut se réveiller au moins pour respecter son propre honneur. On trouvera aussi dans ce livre 18 autres essais à travers lesquels Chesterton aborde la question irlandaise, l'industrialisme prussien, la Révolution française, le mauvais journalisme ou la situation sociale de son temps.
Lors de sa publication en 1917, l'ouvrage ne fut pas publié en Angleterre, en raison de sa virulence, mais directement à New York. Il paraît pour la première fois en France. Si vous osez l'acheter, Utopie des usuriers n'a pas fini de vous surprendre.
Né en Grande-Bretagne en 1874, mort en 1936, G.K. Chesterton a bâti une œuvre immense (essais, poésie, biographies, romans, dessins). Il est reconnu comme l'un des « monstres » de la littérature anglaise du XXe siècle. On le redécouvre en France aujourd'hui après la parution...

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Ernst Jünger est mort catholique

Le livre de Dominique Venner, Ernst Jünger. Un autre destin européen (Ed. du Rocher, 236 p., 18 €) a reçu un bon accueil, y compris - ce qui est curieux - dans la presse chrétienne. Le 17 février 1998, Ernst Jünger est mort à l'age de 103 ans. Certains s'étonnèrent de ses funérailles catholiques. Dans son essai très personnel sur le grand écrivain allemand, Dominique Venner explique qu'il avait simplement voulu se conformer au rite des gens de son village souabe. Il passe sous silence un fait révélé après sa mort : le 26 septembre 1996, en pleine possession de ses facultés, Jünger s'était converti au catholicisme, ce qui était « l'aboutissement d'un long processus de maturation spirituelle », comme l'a expliqué son curé. L'antichristianisme de Dominique Venner l'empêche de comprendre la totalité de cette évolution. C'est visiblement gêné qu'il évoque l'intérêt de Jünger pour Léon Bloy (« un esprit passablement dérangé », selon Venner), sa découverte de la Bible pendant la Seconde guerre mondiale et l'appel à l'Eglise comme recours indispensable face au nihilisme. C'est pourquoi Venner s'intéresse surtout, et présente avec un talent certain, les livres de jeunesse (d'Orages d'acier au Travailleur) et le Jünger national-révolutionnaire des années 20, expédiant les oeuvres de maturité qui commencent par Sur les falaises de marbre (1939) – dénonciation allégorique du totalitarisme et l'un des plus beaux romans jamais écrits. Les années 1945-1998 n'occupent qu'une vingtaine de pages, parfois méprisantes vis-à-vis du « retournement pacifiste et plus ou moins chrétien de l'ancien Jünger nietzschéen ». La biographie de Jünger reste à écrire, même si la lecture de l'essai de Dominique Venner ne manque pas d'intérêt.

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Le Myhe de la violence religieuse recensé par La Croix

Le Père Marcel Neusch recense le livre de William Cavanaugh dans le journal La Croix du 19 novembre :"C’est entendu : la religion sème la violence. Cette thèse, largement répandue surtout depuis le 11 septembre 2001, s’appuie sur trois arguments : la religion est absolutiste, elle divise, elle est irrationnelle. À l’examen, aucun de ces arguments ne peut se prévaloir d’une preuve empirique. La violence religieuse, inséparable de la violence séculière, n’a aucun fondement, ni philosophique, ni historique. C’est un mythe. D’où vient alors son succès ? Selon William Cavanaugh, figure catholique de la « nouvelle théologie politique », le mythe de la violence religieuse sert en Occident à marginaliser le christianisme et à justifier les actions – y compris la guerre – contre le reste du monde. Il se nourrit du besoin d’avoir des ennemis, et de marquer la différence entre nous et eux. Cette étude, fort bien documentée, est l’une des plus pertinentes sur le sujet, en tous les cas l’une des plus originales."

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Chesterton : Minute et Le Nouvel Obs s’y mettent

  Nous avions eu dans la même semaine deux articles parus dans Valeurs actuelles et Libération sur le Plaidoyer pour une propriété anticapitaliste de Chesterton, édition par nos éditions. Nous venons cette semaine d’avoir un autre doublé avec un article dans Minute et un autre dans Le Nouvel Observateur. Dans Minute, Joël Prieur s’attache principalement à la vision de l’homme et de la société qui sert d’appui à l’approche si particulière de Chesterton pour les questions politiques et économiques. « La force de ce livre, écrit Joël Prieur, c’est, au hasard d’une de ces digressions fulgurantes dont Chesterton a le secret, denous expliquer le cadre anthropologique d’une telle réforme.L’auteur de ce Manifeste vibrant s’est trouvé lui-même son saint patron et c’est… à Virgile qu’il nous fait remonter. « Heureux celui qui est capable de connaître les raisons des choses. » Virgile, par ce mot célèbre, ne caractérise pas le philosophe, à qui échappe toujours plus ou moins la matière de ce dont il parle. C’est l’apiculteur que le poète nous donne en modèle ; il connaît tout le processus à travers lequel les abeilles produisent leur miel pour la plus grande joie des hommes. « C’est au cours de ces tranquilles, champêtres et bucoliques réflexions que Virgile célèbre tout à coup le bonheur de celui que ni les rois ni les peuples ne peuvent intimider et qui, connaissant la racine et la raison de toutes choses, peut même entendre sous ses pieds sans se troubler le mugissement du fleuve qui traverse le Tartare. » Puissance de l’apiculteur. Faibles se de l’ouvrier, qui n’est pas maître de son propre travail et au - quel échappent la plupart des raisons et des causes. Sa vie morcelé d’instrument au service du capital n’est pas une vie. L’homme, lorsqu’il se sépare de sa...

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Chesterton s’invite dans la crise

Le dernier né des éditions de L'Homme Nouveau vient d'arriver. Inédit en langue française,  Plaidoyer pour une propriété anticapitaliste (titre d'origine : Outline of sanity) de G.K. Chesterton est l’un de ses principaux ouvrages de réflexions politiques. Dans ce recueil d’essais de 1926, le grand écrivain britannique, que la France redécouvre actuellement, s’emploie à dessiner sans dogmatisme les principes qui pourraient guider une société vraiment humaine entre les écueils du totalitarisme collectiviste et du chaos d’un capitalisme « bling bling » qui ne profite qu’à des privilégiés.Ce n’est pas une mince surprise de constater qu’en usant des mots qui sont les siens, Chesterton avait déjà pensé la crise de l’environnement, la faillite des banques, la perversité du système de la grande distribution, la destruction de l’agriculture ! Avec la philosophie de la gratitude qui le caractérise tant, émaillant ses propos d’un feu d’artifice de paradoxes révélant la complexité des choses, Chesterton propose la large distribution de la propriété comme facteur de justice sociale et de développement économique maîtrisé.Pour l'instant uniquement disponible auprès des éditions de l'Homme Nouveau, en vente en ligne (ICI) ou par correspondance (10, rue Rosenwald, 75015 Paris), ce nouveau livre bénéficie d'une présentation simultanée sur le blog de L'Homme Nouveau, le blog Un nommé Chesterton (Les amis de G.K. Chesterton) et le blog Caelum et Terra. 

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L’Affaire Jane Roe, histoire d’une manipulation

Un livre-évènement vient de paraître aux éditions de L'Homme Nouveau : L'Affaire Jane Roe, histoire d'une manipulation (368 pages, 24 €).

Comment la femme qui fut l'emblème de l'avortement aux États-Unis y est-elle devenue la plus célèbre icône du combat pour la vie ?
À 21 ans, enceinte pour la troisième fois, Norma McCorvey, pauvre et paumée, devient le prétexte, sous le pseudonyme de Jane Roe, de l'arrêt Roe contre Wade de la Cour suprême qui légalise l'avortement en 1973.
Convertie au christianisme, Norma McCorvey nous livre le récit passionnant, poignant, mais aussi réconfortant de son parcours. Par-delà l'histoire d'une froide manipulation, ce témoignage exceptionnel retrace l'aventure spirituelle d'une femme qui, après avoir connu le mensonge, découvre l'amour de Dieu et de son Évangile de vie.
Un livre-événement dont on ne ressort pas indemne mais qui ouvre aussi toutes grandes les portes de l'espérance.

Un livre bientôt présent en librairie et déjà disponible sur notre page boutique.

L'Affaire Jane Roe, histoire d'une manipulation L'Homme Nouveau
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Rendez-vous avec Annie Laurent

Les éditions Salvator et la librairie La Colomberie sont heureuses de vous convier à la séance de dédicaces d'Annie Laurent à l'occasion de la parution de son livre Les chrétiens d'Orient vont-ils disparaître? Entre souffrance et espérance le mardi 16 septembre de 18h30 à 20h30 à la librairie La Colomberie, 7 rue de Condé, Paris VIe, métro Odéon.Renseignements et commandes : Librairie La Colomberie, 7, rue de Condé, 75006 Paris. Tél. : 01 43 26 36 47 www.lacolomberie.frlibrairie@lacolomberie.fr

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En finir avec l’idéologie (1)

La mort d'Alexandre Soljénitsyne a surpris l'Occident en pleine période de vacances. Les yeux fixés sur leurs loisirs, les Occidentaux ont entendu à nouveau la presse évoquer la souffrance du Goulag, les millions de morts et la tragédie de l'extermination organisée. Dur retour à la réalité !À l'initiative de la revue Commentaire, les éditions Fayard viennent de publier un essai consacré à Soljénitsyne signé par l'américain Daniel J. Mahoney. Sous le nom de l'écrivain russe, il y a ce simple, mais ambitieux surtitre : « En finir avec l'idéologie ». Je viens juste d'entreprendre la lecture de cet ouvrage, mais je voudrais déjà en parler. La raison en est simple. Il me semble que plutôt que d'explorer, pan après pan, l'œuvre immense de Soljénitsyne, Daniel J. Mahoney a choisi une voie particulièrement féconde qui est celle de saisir le dessein profond de l'écrivain. En s'attachant à la pensée politique de Soljénitsyne, l'auteur apporte des éléments de réflexions à prendre en compte face aux problèmes auxquels nous sommes nous-mêmes confrontés. L'ouvrage s'ouvre sur une préface d'Alain Besançon. Il rappelle ce que l'on doit à Soljénitsyne dans la compréhension du communisme. Il écrit ainsi :« Il a compris que le communisme ne reposait pas  d'abord sur la police, sur l'armée, sur une bureaucratie privilégiée, sur une caste de profiteurs, ni même sur la terreur, mais sur une chose indéfinissable, sur une formation mentale bizarre, sur une maladie de la pensée, sur une perversion linguistique. Il l'a nommée de son nom officiel, idéologie, et de son nom métaphysique, mensonge. »Comme il se doit pour un préfacier, Alain Besançon présente l'auteur et son livre, mettant en relief ce qu'apporte Mahoney : la modération de Soljénitsyne; sa conception décentralisatrice de l'organisation de la société...

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Philippe Maxence sur les ondes de Radio Courtoisie

Mercredi 28 mai, Philippe Maxence, rédacteur en chef de l'Homme Nouveau, participera à l'émission de Daniel Hamiche sur Radio Courtoisie, sur le thème "Problèmes et avenir de l'anglicanisme ?", de 18h00 à 19h30 (rediffusion le jeudi 29 mai, de 07h30 à 10h30). Il présentera à cette occasion le livre édité aux Éditions de l'Homme Nouveau : Les Confessions d'un converti, de Mgr Robert Hugh Benson. Fils du Primat anglican, Robert Hugh Benson (1871-1914) était promis aux plus hautes destinées tant sociales qu'ecclésiastiques. Sa quête incessante de la vérité va le conduire jusqu'à l'Église catholique. La conversion de cet homme silencieux fit grand bruit. Dans Les Confessions d'un converti, il raconte son cheminement qui trouve nombre d'échos pour les catholiques d'aujourd'hui.Pour écouter Radio Courtoisie :Fréquences FM de Radio Courtoisie en Mhz : Paris et Ile-de-France, 95,6 | Caen, 100,6 | Chartres, 104,5 | Cherbourg, 87,8 | Le Havre 101,1 | Le Mans, 98,8. Radio Courtoisie par satellite : Sur les bouquets satellites TPS et CanalSat, si vous êtes abonné à l'un de ces bouquets, pressez le bouton RADIO de votre télécommande et choisissez "Radio Courtoisie" dans la liste de radios proposées. Ecoutez Radio Courtoisie en ligne avec votre lecteur habituel

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Un inédit dans l’Homme Nouveau

Le dernier numéro de L'Homme Nouveau consacre trois pages à l'écrivain anglais et catholique, G.K. Chesterton (1874-1936), qui opère actuellement un retour en force dans l'édition française. Plusieurs de ses ouvrages sont à nouveau disponibles pour le public français, notamment l'Intégral des histoires policières du Father Brown, un personnage atypique de prêtre-détective créé par Chesterton en 1910. C'est l'occasion pour la rédaction de L'Homme Nouveau de publier un inédit en langue française. Dans ce texte, Chesterton explique son admiration pour le grand dramaturge que fut Paul Claudel. La rencontre de deux géants de la foi et des lettres.  Un grand merci à Daniel Hamiche pour sa traduction. Pour ceux qui voudraient se procurer ce numéro, n'hésitez pas à prendre contact avec nous. Soit par le biais de ce site (rubrique contact) soit par téléphone : 01 53 68 99 77. Et pour ceux qui veulent mieux connaître Chesterton, une adresse : chesterton.over-blog.com.

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